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Si nous prenions la température de la planète, elle nous dirait que la Terre a de la fièvre.

Elle est malade, comme toute personne malade.

Mais sommes-nous à l’écoute de cette douleur ?

Entendons-nous la douleur des millions de victimes des catastrophes environnementales ?

Ce sont les pauvres qui souffrent le plus des conséquences de ces catastrophes,
eux qui sont contraints de quitter leur foyer à cause des inondations, des vagues de chaleur ou des sécheresses.

Faire face aux crises environnementales provoquées par l’homme,
telles que le changement climatique, la pollution ou la perte de biodiversité,
exige des réponses non seulement écologiques, mais aussi sociales, économiques et politiques.

Nous devons nous engager dans la lutte contre la pauvreté et la protection de la nature
en changeant nos habitudes personnelles et celles de notre communauté.

Prions pour que chacun d’entre nous écoute avec son cœur le cri de la Terre
et les victimes des catastrophes environnementales et de la crise climatique,

en s’engageant personnellement à prendre soin du monde qu’il habite.

François